ba c pas forcément simple, ca dépend beaucoup de la relation avec le patient et sa famille.en tout k pour avoir fait des accompagnement de fin de vie je c que c'est très beau et dur à la foi.On sait que le patient est soulagé mais être confroté à la mort c'est simple pour personne, ca nous renvoi tj à nous ou à notre entourage.
moi aussi ca met arrivé de retrouvé une patiente décédée, on s'y attendais on ne devait pas la réanimer en k de dc. Et bah jme suis senti béte, g vérifé au moins 5 fois les pouls!!!
le plus dur pour moi c'est quand g été confroté à la mort chez des enfants, là jme suis dit que ct vraiement pas just, un sentiment d'impuissance énorme visavis de l'enfant et des parents qui compte sur les soignants.En stage j'avais un pti bou de 9mois qui été en soins palliatif, il avait un cancer...
et jme suis retrouvé confronté à la mort d'une ptite de 7ans, mais cette foi pas en stage, gt en vacances, au bord dla piscine, une ptite fille a fait un arret cardiaque dans l'eau et elle a inhallé...(g apprit par la suite qu'elle avait une insuffisance cardiaque depuis la naissance) c moi qui ai fait le masage cardiaque, une infirmière en vacance ki été là par hazard comme moi fesait le bouche à bouche, on a fait ca 15min avant l'arrivé du smur, au bout dune demi heure ils ont tout arrété ct finit.Là jme suis senti nul vraiement impuissante et g pleurer ...la ptite je la connaissé pas du tout mais ct une sensation horrible.Lorsqu'on est en dehors de l'hopital, on a pas la blouse pour se protéger, et c'est pas du tout la même chose.
le sujet de ton TFE jle trouve très interressant en tout cas!
Sujet: comment vivre et gérer affectivement la mort d'un patient. 
